
Réplique Nous sommes aussi préoccupés par l’accessibilité aux soins de santé
En réponse au témoignage de Louis-Paul Lazure, « Un médecin pour Noël » 1, publié le 19 novembre
En réponse au témoignage de Louis-Paul Lazure, « Un médecin pour Noël » 1, publié le 19 novembre
J’ai été entraîneur de basketball toute ma vie adulte ou presque. J’ai tenté de le faire avec passion, engagement et, le plus important à mon avis, avec bienveillance.
Artemis I a enfin pu décoller. Le grondement de ses réacteurs a couvert, l’espace d’un instant, les caquètements de ces hordes qui, ne « croyant pas » aux missions Apollo, se gaussaient de ses couacs répétés. Mais Artemis ramènerait-elle des clichés des sites d’alunissage originels (comme l’a fait le Lunar Reconnaissance Orbiter en 2011) qu’elle ferait aussi partie de la conspiration…
On apprenait la semaine dernière les déboires financiers du Groupe Sélection, un géant de l’industrie des résidences privées pour aînés (RPA) qui détient près d’une cinquantaine d’immeubles logeant environ 15 000 personnes âgées. Cette affaire met en lumière les risques de confier à une industrie privée la responsabilité d’assurer des soins et des services souvent essentiels pour les aînés.
C’est une journée d’automne. Les élections provinciales viennent de se terminer. Je suis attablée devant un bon verre de vin chez mon amie, qui, depuis que j’ai immigré au Québec, est devenue ma famille et celle de mes trois enfants.
Le silence est assourdissant, tant à Québec qu’à Ottawa, sur ce qui adviendra du poids politique du Québec au sein du Canada advenant que les deux gouvernements conservent leurs cibles actuelles d’immigration. La question remet pourtant en questions certains des équilibres fondamentaux de la fédération.
On ne peut pas vous dire qui gagnera la Coupe du monde de soccer, qui a débuté dimanche au Qatar.
Nos lecteurs sont nombreux à souhaiter un médecin de famille pour Noël. Voici un aperçu des commentaires reçus à la suite du témoignage de Louis-Paul Lazure.
En réponse au texte de Philippe de Grosbois, « Une impartialité militante1 », publié le 16 novembre
Un tapis blanc de neige vient de recouvrir le sol partout au Québec. Nous sommes officiellement entrés dans la période qui mène aux Fêtes, celle que l’on connaissait avant les deux dernières années de confinement. Le père Noël fera de nombreuses apparitions aux quatre coins du Québec, notamment dans les centres commerciaux et dans les défilés organisés par les entrepreneurs locaux.
L’usage par la législature ontarienne d’une disposition dérogatoire dans sa loi 28, portant sur le retour au travail forcé de plus de 55 000 travailleurs du secteur de l’éducation, a remis au premier plan les pouvoirs et dispositions de dérogation (« clauses nonobstant »). Une fois de plus, le premier ministre Trudeau a fait part de son intention d’en découdre, judiciairement parlant, avec ces mesures dont la source est pourtant constitutionnelle ou quasi constitutionnelle.
J’aimerais que vous preniez le temps de réfléchir au produit le plus difficile à trouver au Canada et au Québec. Est-ce une voiture neuve ou usagée ? Les délais s’améliorent, vous risquez de la recevoir plus rapidement que l’année dernière. Est-ce une maison à prix raisonnable ? Bonne nouvelle ! Les stocks de maisons disponibles sur le marché ne cessent d’augmenter et les prix baissent. Est-ce des drogues illicites ? D’après ce qu’on voit dans La Presse avec sa couverture sur l’épidémie d’opioïdes, ça ne semble pas être des produits difficiles à trouver.
Depuis quelques années, je lisais moins, à cause des réseaux sociaux qui démolissent la capacité de concentration. Avant, j’étais une lectrice avide, une dévoreuse d’essais. J’ai décidé de m’y remettre. Pour me donner une discipline, mais aussi parce que la littérature est un coup de sonde dans des mondes qui nous sortent de nous-mêmes. C’est un plaisir égoïste, enivrant. Nous sommes seuls face au livre, mais des milliers à apprécier la même chose, à partager des références communes.
Le meilleur comme le pire émergent de la COP27 qui vient de se conclure à Charm el-Cheikh, en Égypte.
Avec la fin de l’année arrivent les nouveaux budgets municipaux. Cette année ne fera pas exception : nous aurons une nouvelle démonstration du manque de ressources financières des villes. Pourtant, la pénurie de logements et la crise climatique cognent à notre porte avec vigueur et commandent de changer la recette.
Le 26 novembre prochain, soit quelques jours avant la tenue de la COP15 sur la biodiversité, on soulignera les 20 ans de la Politique nationale de l’eau. Celle-ci devait nous permettre de retrouver la qualité de l’eau de nos lacs et de nos cours d’eau.
L’immense majorité de nos lecteurs ont bien l’intention de suivre les recommandations de la Santé publique et de porter le masque dans les lieux publics achalandés. Voici un aperçu des quelque 600 commentaires reçus à notre appel à tous.
L’auteure s’adresse au ministre de la Santé, Christian Dubé.