
Le Salon du livre bat son plein jusqu’au 27 novembre au Palais des congrès. Pour vous aider à faire des choix, voici nos suggestions d’activités.
Le Salon du livre bat son plein jusqu’au 27 novembre au Palais des congrès. Pour vous aider à faire des choix, voici nos suggestions d’activités.
Élève de cinquième secondaire, Mathéo est un passionné de natation. Il excelle dans les compétitions et rêve aux Jeux du Québec. Comment l’imaginez-vous ? Élancé et musclé ? Ce n’est pas le cas.
Bien que des sections de clôture aient commencé à être installées autour du Palais des congrès de Montréal en vue de la COP15, les gens pourront accéder sans problème au Salon du livre de Montréal, qui a lieu du 23 au 27 novembre.
(New York) La maison d’édition qui a publié le plus récent livre de Bob Dylan, The Philosophy of Modern Song, remboursera les clients qui ont acheté une édition spéciale autographiée à 600 $, puisque les signatures étaient en fait imprimées et non dédicacées individuellement.
L’une est autophobe et irlandaise, l’autre anthropophobe, écossaise… et sapiosexuelle. Leur affrontement sur près d’un siècle va susciter quelques-uns des évènements marquants du tournant du millénaire, notamment les attentats du 11 septembre 2001.
« La vie est semblable à une bougie. Elle ne peut allumer ou souffler sa flamme elle-même », écrit Ogawa Ito. Quand un pensionnaire s’éteint à la Maison du Lion, on allume une bougie à l’entrée des lieux. C’est dans cette maison de fin de vie que se rend Shizuku, une femme à qui il ne reste plus que quelques mois à vivre.
Jean-Simon DesRochers (Le sablier des solitudes) a l’habitude des récits où il entrecroise des dizaines de vies. Il hausse son art de plusieurs crans avec Le monde se repliera sur toi, où il met en scène plus d’une centaine de personnages dans un roman habile et touchant qui tient en moins de 250 pages.
Dans les librairies de Montréal ou au Palais des congrès, voici six suggestions d’activités organisées dans le cadre du Salon du livre pour les petits, les plus grands et leurs parents.
C’est l’évidence : on ne lit pas de la même manière un roman posthume comme Le garçon aux pieds à l’envers de François Blais que n’importe quel autre livre, surtout lorsque son auteur a lui-même pris la décision de partir, et que le roman posthume en question parle de disparition.
Nos éditorialistes vous dévoilent ce qu’ils lisent cet automne.
Pour réfléchir, s’évader ou assister à des discussions entre passionnés, voici quelques suggestions d’activités par thème pour vous guider à travers une édition du Salon du livre qui revient en grand, cette année.
Cette 45e édition du Salon du livre de Montréal marque le retour attendu d’auteurs étrangers dans la métropole. À quelques jours de sa venue, nous avons joint l’écrivain Makenzy Orcel à Paris pour lui parler de son nouveau roman, Une somme humaine, qui s’est retrouvé cet automne parmi les quatre finalistes du prix Goncourt.
Une fois réunis, leurs premiers romans dressent le portrait d’une littérature québécoise riche et plurielle, grave et comique, inquiète et lumineuse. À l’approche du Salon du livre de Montréal, faites connaissance avec Philippe Yong, Sara Robinson, Ayavi Lake et Benjamin Gagnon Chainey.
(Paris) Annie Ernaux, couronnée du prix Nobel de littérature en octobre, a inclus des textes inédits dans une réédition publiée vendredi de Retour à Yvetot, court livre de 2013 qui éclaire son parcours.
« Force est de constater que les littératures autochtones, maintenant, sont partout », se réjouit l’écrivain wendat Louis-Karl Picard-Sioui. Ce qui ne signifie pas du tout que le Salon du livre des Premières Nations, dont la 11e édition se déroule jusqu’à dimanche, n’a plus sa raison d’être. État des lieux avec un directeur général qui aimerait bien que les porte-parole médiatiques se multiplient parmi les siens.
La Bête vient d’accoucher d’un rejeton, qui lui emprunte quelques traits tout en s’en affranchissant. Nom de baptême : Maple, où une prostituée en probation s’improvise enquêtrice pour enrayer les desseins d’un sadique assassin. Polar servi à la sauce Goudreault et nappé de son écriture claire-obscure, ce roman « trashicomique » fait sauter les dentiers tout en brodant dans la dentelle.